Avis de tempêtes #14
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Lieux : Partout
Avis de tempêtes – bulletin anarchiste pour la guerre sociale n°14 (février 2019) vient de sortir.
Pour lire, imprimer et diffuser ce petit bulletin autour de soi (il est en format A5, et celui-ci fait 20 pages), on pourra retrouver chaque nouveau numéro tous les 15 du mois, ainsi que les précédents, sur le blog :
https://avisdetempetes.noblogs.org
« Quelqu’un disait que si la société est une prison à ciel ouvert, les guérites modernes doivent certainement être ces antennes et relais de communication qui font partout obstacle au ciel bleu, et les barbelés toutes ces fibres optiques et ces câbles électriques. Pour celles et ceux qui désirent enrayer la reproduction de la domination, il devient ainsi primordial qu’ils et elles arrivent à regarder ailleurs et autrement. Ce n’est pas que le commissariat du coin ne devrait plus attirer l’attention de l’ennemi de l’autorité, ou que la vitrine de la banque ne mérite pas d’être fracassée, ou que le tribunal ne devrait pas recevoir de visites enragées, mais il est aussi vrai que la domination a diffusé sur le territoire une vaste quantité de structures relativement petites et peu protégées dont toujours plus de choses, pour ne pas dire presque tout, dépendent. C’est dans ces petites choses que la toile invisible qui nous enferme et qui permet la restructuration du capital et de l’État se matérialisent. C’est là que peuvent être attaquées les artères de la domination qui irriguent les champs de l’exploitation et de l’oppression ; c’est là que peuvent être enfin réduites au silence les prothèses technologiques et leurs bourdonnements asservissants. »
Brève réponse à une « attaque » discursive
Avis de tempêtes, « bulletin anarchiste pour la guerre sociale », publie dans son numéro 14 son avis sur la dernière brochure co-éditée par les Fleurs Arctiques et Ravages Editions : Contre l’anarcho-libéralisme et la malédiction des Identity politics. C’est dans la rubrique « Le coffre aux perles », le titre c’est « lost in space », et c’est une attaque manipulatrice, irraisonnée, haineuse, indiscriminée pourrait-on dire, non seulement d’un texte (en fait plus exactement de la traduction collective d’un texte précédée d’une introduction qui rend compte des discussions qu’a suscité ce travail de traduction au sein d’un groupe de lecture réunissant une dizaine de personnes, mais la « critique » acerbe n’en tient et n’en rend pas compte), mais aussi d’un lieu, d’un projet, et, comme le bazooka cherche aussi paradoxalement la précision dans le tir, d’une des personnes, ciblée quasi-ouvertement, qui participent à ce lieu. Alors il nous faut répondre, brièvement, parce que ce qui est dit est malhonnête, mensonger, et à vrai dire autoritaire, détestable et indigne à tout point de vue.
La suite : https://lesfleursarctiques.noblogs.org/?p=1175
Cette longue phrase de l’introduction au texte traduit qualifie-t-elle oui ou non l’anarchisme et le communisme d’identités politiques ? A bon entendeur.
« Avec un peu de bon sens, on peut décrire cela comme une technique et des tactiques de prise de pouvoir sur les énoncés et la gestion des espaces qui s’est répandue ces dernières années, empêchant toute perspective révolutionnaire un tant soit peu anarchiste, et donc a minima universaliste – c’est à dire ne concernant pas une minorité sexuelle, de « ?race? », de genre, une intersection de ces dernières, ou même une identité politique (comme l’anarchisme ou le communisme), mais tous les révoltés, d’une façon ou d’une autre. »
C’est écrit noir sur blanc dans la phrase que tu cites toi-même que l’anarchisme entendu comme identité vide l’anarchisme de son sens. C’est pourtant clair non ?
Quel Avis de mauvaise foi, peut être faudrait il revenir aux bases de la lecture et de la signification.
Par ailleurs, il parait évident que des anarchistes qui ne s’intéresseraient qu’à ce qui est purement anarchiste et condamneraient tout le reste du monde, seraient
1- Contre-révolutionnaires. Parce qu’aucune révolution anarchiste n’aura lieu, et qu’il faudra pour eux lutter contre la révolution qui ne sera pas anarchiste.
2- Identitaire : car que reste-il là dedans de l’anarchisme hormis un folklore, une communauté factice, une famille ? Le pire de tout ce qui fait société, à vrai dire, de tout ce qui s’oppose à l’individualité et à son imaginaire créatif.
Cette défense de l’identité anarchiste qui serait pure et invariablement inébranlée par la tragédie du monde, c’en est vomitivement chauvin et nauséabond. Voila ce qui arrive à toujours vouloir stagner dans la modicité constante.
Vive l’anarchie, et marre des idéologues et petits boutiquiers qui figent les idées dans des bocaux pour les ranger sur des étagères moisies pas l’usure.
Encore un transfuge. AE.
« Cette longue phrase de l’introduction au texte traduit qualifie-t-elle oui ou non l’anarchisme et le communisme d’identités politiques ? A bon entendeur. »
Et ben non. D’abord il y a ça dans cette phrase : »empêchant toute perspective révolutionnaire un tant soit peu anarchiste » qui dit que ceux qui écrivent trouvent que c’est un problème d’empêcher des perspectives révolutionnaires anarchistes.
Ensuite l’ensemble du texte dit l’inverse.
La seule manière de comprendre cette phrase comme c’est dit là, c’est d’isoler un tout petit bout « ou même une identité politique (comme l’anarchisme ou le communisme) », d’oublier tout ce qui est dit avant et après pour faire exprès de ne pas comprendre que la parenthèse veut dire évidemment « anarchisme et communisme, quand ils sont pris comme des identités » (tout le texte fait cette opposition, c’est même ce qu’il développe…). Le répéter à nouveau là aurait été très très lourd et répétitif, puisque c’est le propos principal du texte.
Aurions-nous pour autant été à l’abri de cette malveillance ? Je ne crois même pas… une autre virgule aurait été montée en épingle parce qu’on aurait dû mettre un point virgule…
Donc pour se préserver de telles malveillances, il faut redire dans chaque bout phrase, dans chaque parenthèse l’ensemble de ce qu’on veut dire, pour empêcher qu’on découpe un petit bout d’une phrase pour lui faire dire l’inverse.
Ce sont les techniques qu’apprennent ceux qui se font interviewer par des journalistes.
Doit-on donc se méfier d’ADT comme de France 2 et BFM ?
Si on est honnête, une fois découpée et séparée de sa phrase et de son texte (ce qui est déjà une drôle d’idée…), la parenthèse pêcherait éventuellement par rapidité par rapport au propos. Si on est malhonnête, on l’extrait, on l’exhibe, et on prétend que c’est ce que dit l’ensemble du texte…
Quelles méthodes !
Moi, ce qui m’interpelle dans le texte d’ADT, c’est l’usage du terme « transfuge », dans sa phrase, en cohérence avec le sens de l’ensemble du texte…
@Mdm
Puisque l’usage du mot « transfuge » te tracasse, pas besoin d’aller chercher pour le comprendre le pire du 20e siècle avec la RDA, les staliniens, l’extrême-droite de la guerre d’Algérie, voire même un délire sur la pureté du sang, comme le tente la « Brève réponse à une « attaque » discursive ». Chacun a certes les tristes références qu’il peut, mais sache tout de même que c’est le terme même qui était employé historiquement dans la tradition révolutionnaire lorsque quelqu’un passait de l’anarchisme au marxisme et vice-versa (ou d’une classe à l’autre).
Tu en trouveras par exemple deux fameux usages parmi d’autres chez les anarchistes : l’un concerne Andrea Costa, ex-compagnon de Malatesta devenu député socialiste. A sa mort en 1910 le journal anarchiste genevois Le Réveil titra sous la plume de Luigi Bertoni : « Un Transfuge ». Le second est de la plume du compagnon de référence utilisé pour conclure cette maladroite et fade « Réponse » : Prudhommeaux. Sans doute était-il lui aussi trop identitaire comme Bertoni, mais en tout cas il s’intéressait dans l’autre sens aux marxistes qui passaient chez les anarchistes dans son article de 1946 (Du marxisme à l’anarchie), employant naturellement le terme « transfuge » à plusieurs reprises. Sa conclusion ? « Vous préférez, vous réclamant d’autres tendances, rester chez vous, ou bâtir sur vos propres plans ? Faites cela ! Nous aurons toujours ceci en commun d’aimer notre indépendance et de défendre notre vérité. Peu importe le nom que vous donnerez à l’édifice de votre pensée. Le principe créateur qui vous fait tourner le dos aux casernes des totalitaires, aux usines de cerveaux en série, c’est encore l’anarchie. »
Les textes sont là :
archivesautonomies.org/IMG/pdf/anarchismes/avant-1914/lereveil/1910/lra_1910_01_29.pdf
http://acontretemps.org/spip.php?article402
Merci, cher « un peu d’histoire révolutionnaire » pour ces compléments.
Donc, ce qu’il y a par dessus tout à défendre de ce texte, ce dont on est fier, c’est le terme transfuge? C’est la seule réponse aux arguments précis contestant l’interprétation fallacieuse de la brochure sur laquelle s’appuie la critique? L’inquisition comme dernier quignon de pain à défendre…
Alors nous aussi, de la même manière, on peut taper « transfuge » dans le moteur de recherche d’une base de données anarchiste, et lire les deux premiers textes qui apparaissent alors (mais avec plus de respect pour ce que les textes veulent dire…). Un petit contrôle F, et le tour est joué…
Hélas, ces éléments d’érudition acquis à la va-vite restent peu convaincants.
Bertoni utilise visiblement ce terme par métaphore à partir de son usage partidaire ou militaire, donc effectivement comme le texte d’ADT, pour dénoncer une trahison. Devenir député, serait-ce comparable au fait de penser que l’identitarisme vide l’anarchisme de son sens… ? Bertoni traite un traître de traître, avec un terme excessif pour un anarchiste, parce que la trahison est ici particulièrement ignoble.
Quant à Prudhommeaux, il fait ici montre d’une intelligence et d’une ouverture d’esprit anti-identitaire remarquable, qu’on aurait bien aimé trouver dans le texte d’ADT… et, (encore des problèmes majeurs de lecture et de compréhension) en l’occurrence dans cette phrase, il ne parle pas de ceux qui passent du marxisme à l’anarchie, sinon le passage n’a plus de sens, il accueille comme anarchistes quelle que soit la manière dont ils se nomment ceux qui tournent le dos aux « casernes des totalitaires ». Dans ce texte, il emploie « transfuge » pour singer l’autoritarisme des communistes de Parti, il dit aussi qu’ils traitent ceux qui les quittent de « vendus ». Et puis ensuite, dans le même texte, le « transfuge », c’est lui, passé du marxisme à l’anarchisme qui déplore d’être mal compris des plus identitaires des anarchistes justement. En tous les cas, il n’utilise pas ce terme pour dénoncer et calomnier. Une bonne lecture, décidément, ce Prudhommeaux.
C’est tout de même pénible de devoir ainsi vérifier chaque citation et chaque argument, et de trouver à chaque fois une falsification…
On reste donc toujours aussi choqués par l’usage de ce terme dans « le coffre aux perles », et par l’accusation portée.
En tous les cas, si transfuges il y a, vous ne nous trouverez pas du côté de ceux qui dénoncent la traitrise de ceux qui ne suivent pas la ligne du parti, aussi affinitaire soit-il, car ce sont des fusilleurs !
L’invariance irait-elle jusqu’à justifier de reprendre les termes de Proudhon quand il assigne les femmes à la vaisselle, parce qu’il est anarchiste estampillé? A bon entendeur.
Allez, ça suffit maintenant.
Mdm et AE
Au sujet de violences exercées en milieu anarchiste
https://www.nantes.indymedia.org/articles/39162
« aucune révolution anarchiste n’aura lieu » nous explique AE, pas besoin d’aller plus loin. Voilà tout l’intérêt des discussions arctiques entre anarchistes et communistes anti-autoritaires. Continuez de philosopher en paix en attendant de construire votre parti de révolutionnaires transfuges de toutes tendances. Et bonne nuit à tous les pinailleurs.
Cher « https://www.nantes.indymedia.org/articles/39162 »
ADT ne peut pas souscrire à ce commentaire et à ce vieux texte pourri et devrait selon toute logique, cohérence et éthique anarchiste s’en distancer dans cette discussion comme dans la vraie vie.
Mais un doute m’assaille. Ne me dites pas que c’est ADT qui ressort là un vieux texte de médisance dont tout le monde connaît la source problématique (en tous les cas assurément ADT) et que la plupart de ceux au nom duquel la personne prétend s’exprimer ont désavoué ? A cours d’arguments, on fait les poubelles ? Ce n’est pas en haussant le niveau de la crasse et en sortant du terrain, sans doute plus risqué, de l’argumentation, qu’on a le dernier mot.
@Auteur-e : soutiendriez-vous donc sérieusement que la révolution sera anarchiste au sens d’ADT ou ne sera pas ? C’est de la foi, du dogme, de la croyance aveuglée et aveuglante, et ça ne s’encombre pas de la réalité. Ou c’est juste une pose pour recruter les jeunes et fougueux néophytes (ouah, il y a un gars qui dit qu’il est anarchiste et qui pense qu’il n’y aura pas une révolution purement anarchiste ? C’est clair, c’est un fasciste, ou un marxiste, de toutes façons c’est pareil.) En régnant sur des croyants, on risque d’avoir beaucoup à excommunier, beaucoup d’apostats et de transfuges à villipender, et ce dans toutes les bibliothèques d’ici ou d’ailleurs.
les querelles de chapelle…
vaut mieux dormir ou se suicider
Chère Mdm,
tous vos raisonnements de comptoir ici bas respirent la crapulerie intellectuelle. Vous vous croyez donc encore devant vos élèves, auxquels vous pouvez faire gober vos petites analyses de textes ?
Luigi Bertoni n’est pas au collège ni au lycée : quand il pense « transfuge » à propos de Costa, il écrit « transfuge », et non pas « traître ». Point barre. Vos synonymes parlent de votre subjectivité à vous, pas du sens de son texte et encore moins de ses idées à lui. Et idem pour le bulletin anarchiste dont il est question. Si quand il y a écrit « transfuge », vous en faites un odieux synonyme de « sang-mêlé », cela parle de votre imaginaire et de vos fantasmes à vous, pas du texte qui vous déplaît ; en l’occurrence de vos obsessions anti-racialisateurs, du vocabulaire et des catégories dégueus qu’elles engendrent.
Si quand il y a écrit « transfuge », ce n’est ni Bertoni ni Costa ni Prudhommeaux ou tout autre anarchiste qui vous vient en tête, chère Mdm, mais plutôt des histoires de Staline ou de RDA, cela parle de vous, pas du texte, de vous et de votre imaginaire de communiste.
Crapulerie aussi quand vous attribuez dans le texte de Prudhommeaux trois sens au mot « transfuge », madame la professeure. Eh non, ce compagnon ne singe rien du tout : il emploie un mot courant de son temps, rien d’obscur ni de grossier (c’est vous qui voulez à tout prix que ce terme soit dénonciateur, il peut aussi être juste descriptif comme dans Avis de tempêtes ou chez Prudhommeaux). Tout est clair ici, dès le titre (« Du marxisme à l’anarchie ») et dès la première phrase (« Ce n’est jamais sans quelque surprise que les marxistes voient l’un des leurs se déclarer anarchiste ») : c’est un texte qui parle des transfuges du marxisme vers l’anarchisme (de l’auteur lui-même en l’occurrence). Et tant pis pour votre petite thèse prétentieuse que le monde et le mot « transfuge » remontent aux années 50, juste pour pouvoir calomnier celles qui l’emploieraient d’être des fascistes ou des staliniennes.
Escroquerie encore, plus flagrante que jamais dans les réponses aux autres trolls. Votre petit protégé AE qui a mérité une cosignature plutôt qu’un bon point pour avoir répondu en premier, a ainsi écrit la connerie suivante : « aucune révolution anarchiste n’aura lieu ». Aaah, AE, notre sous-Nostradamus de bazar, si seulement tu avais pu employer le mot « communiste » ou le mot « fasciste » à la place du mot « anarchiste » dans ta phrase, on t’aurait au moins encouragé à continuer de faire la grenouille de bocal… Mais heureusement vint falsificatrice, comme ne le dit pas la chanson, pour tenter de sauver le soldat AE. Résumé par Mdm de la phrase « aucune révolution anarchiste n’aura lieu » : « il n’y aura pas une révolution purement anarchiste ». Il vous faut une photo ou quoi ? AE fait une prédiction absolue et stupide sur les 100 000 prochaines années qui prétend que cette révolution-là n’aura JAMAIS lieu, et toi, Mdm, tu tentes de sauver son cul face à un troll en lui faisant dire que SI elle a lieu, elle ne sera en tout cas pas PUREMENT anarchiste. Encore tes problèmes de traqueuse de racialisateurs qui remontent à la surface et déteignent sur toi, comme avec « sang-mêlé ». Où as-tu vu quelqu’un parler de révolution « purement » ou pas « purement » anarchiste ici ? Le seul point du troll était : si AE pense par principe qu’ « aucune révolution anarchiste n’aura lieu », on comprend mieux pourquoi il fréquente le désert glacé de tous les transfuges.
Enfin, la dernière et pas la moindre de tes crapuleries, Mdm, c’est de diffuser ce genre de rhétorique solipsiste dans tes posts ci-dessus : 1/ faire croire que « Avis de tempêtes » est une personne et pas un projet et des idées sur papier et encre, en l’occurrence un bulletin anarchiste pour la guerre sociale (14 numéros, 300 pages, un site, un mail, etc)… 2/ …ce qui te permet de laisser entendre qu’un ou plusieurs posts ici aient pu carrément être ce bulletin lui-même, après l’avoir privé de son nom et rebaptisé en « ADT » 3/ …puis d’inventer de façon anthropomorphique un agir à ce pdf muet qui reste une publication papier, du genre « ADT » fait ceci, « ADT » connaît cela… 4/ …pour finalement fantasmer que du papier et de l’encre auraient mené « une discussion » avec toi, et arriver à ton point final : lui dispenser à la fois tes ordres et tes injonctions merdeuses (papier, distancie toi de ceci, suis moi, aies confiaaaance, reconnais cela) !
Mdm, reste-en donc à tes premières amours, l’exégèse de tes propres contributions, le reste trop anarchiste te dépasse manifestement (comme ta blague sur Proudhon) : la parenthèse veut dire évidemment « anarchisme et communisme, quand ils sont pris comme des identités » ; cette parenthèse pêcherait éventuellement par rapidité par rapport au propos ; Allez, ça suffit maintenant.
Un transfuge de classe ou transfuge social ou encore transclasse désigne un individu ayant vécu un changement de milieu social au cours de sa vie1,2. On parle ainsi de transfuge lors d’une traversée conséquente de l’espace social. Cette traversée peut survenir à la suite d’un mariage, d’un emploi, des études, etc. Qu’elle soit ascendante ou descendante, cette traversée nécessite une mobilité sociale importante. L’existence des transfuges est donc en partie liée à la possibilité pour des individus de changer radicalement de milieu social. (…)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Transfuge_de_classe
Pardonnez-moi, Mon Père, parce que j’ai péché.
J’ai péché par orgueil en pensant qu’il était possible de discuter en argumentant face à Ta Magnificence.
Ainsi qu’en le faisant ouvertement et en mon nom, au lieu de faire comme tout le monde, en trollant.
J’ai péché par présomption, en m’intéressant, moi qui vient du communisme anti-autoritaire, à des textes anarchistes et en les lisant par moi-même alors que seul ADT peut en faire l’exégèse.
Au lieu de propager la bonne parole, j’ai osé défendre un texte auquel j’ai contribué et défendre mes camarades et compagnons, sans accepter que le texte soit mis à l’index et eux cloués au pilori.
J’ai invoqué le nom d’ADT en vain.
Et puis surtout j’ai péché par luxure, j’ai quitté mes premières amours et je me suis vautrée dans la débauche des affinités hors mariage, sans même me convertir et recueillir Ta bénédiction.
Maintenant je suis bien punie par ce commentaire et je mériterai que mon nom soit sali ainsi que les projets auxquels je participe, pour les siècles des siècles.
Grand Troll, mes remords sont sincères et je les dépose humblement à Tes pieds.
J’accepterai les supplices seuls à même de blanchir la noirceur de mon âme.
J’abjure la croyance que les mots ont des sens selon leurs emplois.
Je m’éloignerai des transfuges, je ne cèderai plus à la tentation et ne gênerai plus Ta croisade.
Je respecterai Ton dogme et ses revirements sans mot dire.
Je respecterai désormais les liens sacrés du mariage.
Il n’y a de révolution qu’Anarchiste
Il n’y a d’anarchisme que l’Anarchisme d’ADT.
Une pécheresse.
Hey Avis de Tempete (puisque faut pas dire ADT haha) va falloir arrêter de croire qu’on peut (encore…) décider qui couche avec qui et qui lutte avec qui dans le petit milieu nanar. Va falloir aussi arrêter de croire que l’anarchisme peut se conjuguer avec ce genre de soif de pouvoir que vous n’êtes même pas capable de cacher dans vos petits textes.
sapu içi
hey, les fleurs arctiques, d’habitude vous vous plaignez que de soit-disant imposteurs publient ici vos programmes et autres textes (alacon) sans votre autorisation tout ça juste pour permettre à des super-vilains de dire des choses vilaines sur vous (conspiracy-theory-watch ou êtes vous ?), mais là vous plongez direct en mode gros troll au combat. merci pour le pop-corn. toujours marrant de lire des boutiquiers traiter les autres de boutiquiers. on vous a connu en mode OPA sur le milieu en disant « votre milieu c’est de la merde », « tout ce que vous voulez c’est avoir le pouvoir sur le milieu », etc. vous avez aussi le chic pour vous faire passer pour des victimes injustement maltraitées alors que vous êtes connus pour vos calomnies vos méthodes de merde type délation et mensonge pour faire taire ceux-celles qui sont pas dans votre ligne et pour insulter et-ou frapper physiquement ceux-celles qui expriment des désaccords avec vous, bref, faites ce que je dis pas ce que je fais, on connaît la chanson. c’est à peu près ce que vous recommencez à faire, là, non ? le coup du « on a changé, maintenant on est sympa », ça ne prend pas. si vous n’étiez pas si dangereux humainement on pourrait se contenter d’en rire. mais vous nuisez tellement aux causes pour lesquelles vous êtes supposés lutter que ce n’est ni comique ni relaxant, c’est pathétique et affligeant.
g rien lu des textes cités, poste ce commentaire : suis épuisé. lOVe
« Autrement dit, le terme « race » devrait être utiliséuniquementdans le but decontribuer à saisir les dynamiques sociales spécifiques d’exclusion et deviolence qu’il recouvre26. Il est possible d’utiliser le termesans être racialiste niraciste, mais à condition de définir la « race » en tant que « marqueur socialhiérarchisant27», ou un « construit social discriminant28». » https://www.non-fides.fr/?Brochure-Un-Specimen-plus-faux-que-nature
Réponse à antiracialiste mon oeil :
Le texte dont tu tires ta citation est un dossier CRITIQUE d’une émission de vulgarisation scientifique. Cette citation est une paraphrase de l’émission en question, qui est donc critiquée dans le paragraphe suivant :
« Il est consternant de voir à quel point il n’y a aucun positionnement critique vis-à-vis du terme dans l’émission. Le présentateur et les expert.e.s utilisent le terme à tout bout de champ en prônant un humour libérateur censé « appeler un chat un chat ». Le terme est mobilisé pour renvoyer à une prétendue réalité biologique ou culturelle, ou les deux – sans jamais le préciser – contribuant ainsi à consolider la croyance populaire dans le fait que les différences raciales sont objectives, naturelles et indépassables. L’émission assume donc une position racialiste de l’espèce humaine, procédé scientifiquement invalidé et éthiquement intolérable. »
Pense a ouvrir le bon oeil pour éviter toute manipulation textuelle et politique.