Septembre, en attendant?
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Désolé, j’ai pas trouvé autre chose que ce pompage de Noir dez pour décrire ce qui se passe dans ma tête en ce moment.
Un été comme j’en aurais rarement vu. Les vacances? Pas pour tout lemonde. Non non, il y en a qui s’occupent de nous dans les salons feutrés de Paris…
Baisse de l’ISF (ça fera queqlues heureux n’en doutons pas), baisse aussi du livret A (là je sens pointer l’écouerement de nombreux autres); remarque tout baisse depuis quelques mois. Nos libertés, nos droits de tout type à par celui de fermer notre gueule ou d’en prendre plein la gueule justement, nos revenus (quels qu’ils soient)…
quel est ce curieux mélange de mépris, d’arrogance et d’ignominie qui anime ces gens du pouvoir? Peut être le pouvoir tout simplement. J’avoue qu’en ce jeudi soir (pardon vendredi matin maintenant), le moral n’est pas au top. Et ce couillon de Raffarin qui m’en remet une couche de dialogue social. Je fais lui en mettre du dialogue moi, à coup de santiags oui!
Septembre peut être, en attendant…
En attendant ce sera ce soir avec les interluttant(e)s. Sans eux, ce serait vraiment la déprime…
Allez, on arrête le gris pour ce soir, demain sera noir ou ne sera pas.
« Tant kil y a du noir, y a de l’espoir » Béruriers noirs. Ici 555 à vous NANTES.