Fil info de la journée du 09.01
Publié le , Mis à jour le
Catégorie : Local
Thèmes : Luttes salarialesRadio cayenneRetraites 2019
Sources : Twitter (T), Ouest France (OF), Presse Océan (PO), Radio Cayenne (RC)
10h35: départ de la manif à Saint-Nazaire.(OF)
10h38 : 1 camion de la bac pont de la rotonde (RC)
10h44: Le personnel du C.H.U., les cheminot-e-s et les étudiant-e-s sonts arrivée au miroir d’eau. Les étudiant-e-s sonts devant les cheminot-e-s. (RC)
1Oh48: 7 carsde G.m. enbas de la rue de Strasbourg et sur le cours des 50 otages. Des G.m. sonts à pied prêt du mc Do de feydeau. (RC)
11h00: Une gigantesque banderole “les libéraux au cachot, le peuple au chateau” est accroché entre des arbres prés du miroir d’eau. (RC)
11h26: Sur son twitter , la police nationale 44 se plaint d’une “manifestation non-déclaré ce jour à 11h dans le centre-ville de Nantes à l’appel d’une intersyndicale contre la réforme des retraites”. Non mais vous croyez que pour manifester on va gentillement demandé l’autorisation en plus???
11h30: La manif démarre en direction du C.H.U. (RC)
11h46: La tête de cortêge arrive chaussée de la madeleine. Pour l’instant il se passe pas grand chose, 2 R.G.sonts sur le toit de l’hopital.(RC)
11h51: La manif pasee le long de la chaussé de la madeleine jusqu’à Aimé delrue encadré par les G.m. (RC)
12h03: La manif passe rue fourré, certaines personnes se demandent si ça va gazer. (RC)
12h06: La C.D.I. est rue de Rieux, perpendicullaire à la rue Fourré.(RC)
12h17: Aprés 45 min, la star tant attendue #L’HÉLICO arrive.(RC)
12h24: Le cortêge arrive à duchesse anne, les gens sonts super contents de voir la queu de cortêge au C.H.U.(RC)
12h35: Ca pête devant le cours Saint-Pierre.(RC)
12h38: Tirs de grenades lacrymos et énorme charge des G.m. et de la Bac à quelques pas de l’hotel duchesse anne. Au passage ils onts récupéré une banderole. Le cortêge recule , puis repart tout doucement.(RC) et (T)
12h42: La bac estsur le cours Saint-Pierre.(RC)
12h43: Suite à la charge, le cortêge à été coupé en deux.(RC)
12h49:Le cortêge arrive place Foch.(RC)
12h51: Les Flics se fonts insulter et se sonts pris de la peinture;(RC)
12h58:Un casque de G.m., aspirant à plus de liberté, s’est envolée.(RC)
13h00: Ça Gaze à la préf., et l’hélico vole trés trés bas.(RC)
13h05: En plus des gazes, la lance à eau de la préf. est de sortie.(RC)
13h08: La manif avance petit-à-petit sous les gazes. La Bac et la C.D.I. sonts en bas de la rue Paul Bellamy.(RC)
13h13: L’hélico est tellement bas, que dans le cortêge les gens s’entendent plus parler.(RC)
13h20: La Bac est à gauche dans les petites rues longeant le cours des 50 otages. Le cortêge se dirige vers commerce.(RC)
13h22: La Bac est rue de l’hotel de ville, et vise les gens au LBD avec leur laser vert.(RC)
13h25: Un gros bout du cortêge qui s’était fait séparé retrouve le début de la manif.(RC)
13h31:La manif arrive à la croisée des trams, Les syndicats indiquent 18 000 manifestant-e-s à Nantes aujourd’hui.(RC)
13h36: La police nationale 44 tweet ” Attention aux fake news, aucun arrété préfectoral n’a arrété les parapluies aujourd’hui.(T)
13h42: Ça Gaze au niveau du carré feydeau.(T)
13h44: 2 arrestations bien vénères en bas de la rue de Strasbourg.(T)
13h51: Les G.m. sonts blockés au rond point prés du passage sous-terrain avec les 2 interpellés.(RC)
13h53:Le panier à salade vient de partir avec les interpellés. Il reste encore environ 400 manifestant-e-s et ça Gaze au miroir d’eau.(RC)
14h08: La Bac et les G.m. onts mis un gros coup de pression à la cagette détèr’.(RC)
14h18: Charge en bas de la rue de Strasbourg.(T) et (PO)
14h25: Grosse débandade.Une pluie drue et un gazage intensif onts réduit le nombre de manifestabt-e-s en un temps record.(T)
14h30: Le twitter de la police nationale 44 annonce la fin de la manif. Ainsi que deux arrestations et aucun bléssé parmi les forces de l’ordre. Selon eux il y avait au plus fort 8 400 manifestant-e-s alors que la vérité tournerait plutôt autour des 15 000.
14h42:Une trentaine de personne encore à la croisée des trams. Il y à eue deux interpellations aujourd’hui, retrouvons nous devant Waldeck pour les soutenir.(RC)
Ensemble : 1.3 million selon les organisations syndicales, 452 000 selon le ministère de l’Intérieur.
Paris : 370 000 selon la CGT (56 000 selon le ministère de l’Intérieur).
Hauts-de-France
Lille : 15 000 selon le CGT (6 000 selon la police)
Amiens : 5 000 selon la police
Douai : 2 000 selon la CGT (1 000 selon la police)
Valencienne : 4 000 selon la CGT (1 500 selon la police)
Calais : 1 200 selon La Voix du Nord
Boulogne-sur-Mer : 2 500 selon les syndicat (1 200 selon la police)
Arras : 2 500 selon les syndicats (1 500 selon la police)
Normandie
Rouen : 30 000 selon les organisateurs (7 400 selon la police)
Caen : 15 000 selon la CGT (8 000 selon la police)
Le Havre : 35 000 selon la CGT (5 300 selon la police)
Cherbourg : 10 000 à 15 000 selon les syndicats (2 800 selon la police)
Grand est
Nancy : 12 000 selon les syndicats, 5 000 selon France Bleu
Metz : 12 000 selon les organisateurs (5 300 selon la police)
Strasbourg : 10 000 selon la CGT
Mulhouse : 5 000 selon les syndicats (2 300 selon la police)
Reims : 2 500 selon les organisateurs (1 700 selon la police)
Épinal : 2 000 selon Vosges Matin
Bourgogne-Franche-Conté
Besançon : 4 500 selon les syndicats (3 500 selon la police)
Dijon : 4 000 selon la police et la CGT
Belfort : 3 000 selon l’intersyndicale (1 400 selon la police)
Centre-Val-de-Loire
Tours : 7 500 selon les syndicats (5 600 selon la police)
Orléans : 9 000 selon les syndicats (3 100 selon la police)
Blois : 3 700 selon la CGT (2 000 selon la police)
Châteauroux : 3 000 selon La Nouvelle République
Pays-de-la-Loire
Nantes : 18 000 selon les syndicats, 12 000 selon Ouest France (8 400 selon la police)
Le Mans : 3 000 à 5 000 selon un décompte de Ouest France
Angers : 4 300 selon l’intersyndicale
Saint-Nazaire : 4 000 selon Ouest France
Bretagne
Brest : 6 000 à 7 000 selon les organisateurs (4 000 selon la police)
Rennes : 15 000 selon l’intersyndicale, 8000 selon Ouest France (6 000 selon la préfecture)
Quimper : 3 000 selon Ouest France
Lorient : 3 000 selon Ouest France
Vannes : 2 000 à 3 000 selon la CGT (1 400 selon la police)
Nouvelle-Aquitaine
Bordeaux : 70 000 selon l’intersyndicale (10 000 selon la police)
Agen : 1 700 selon la police
Angoulême : 5 000 selon les syndicats (3 000 selon la police)
Périgueux : 4 200 selon les syndicats (3 000 selon la police)
Bayonne : 7 500 selon les syndicats (5 000 selon la police)
Limoges : 16 000 selon la CGT (4 000 selon la police)
Pau : 9 000 selon les syndicats (5 200 selon la police)
Tarbes : 9 000 selon les syndicats, 5 000 selon France Bleu (3 200 selon la police)
Auvergne-Rhône-Alpes
Clermont-Ferrand : 15 000 à 20 000 selon les syndicats (6 000 selon la police)
Lyon : 15 000 personnes selon le journal 20 minutes et 27 000 selon la CGT (11 000 selon la police)
Grenoble : 25 000 selon la CGT (5 500 selon la police)
Saint-Étienne : 30 000 selon la CGT (4 500 selon la police)
Puy-en-Velay : 5 000 selon les syndicats (2 500 selon la police)
Chambéry : 6 000 selon FO (3 500 selon la police)
Annecy : 4 000 selon les syndicats (1 800 selon la police)
Albertville : 1 200 à 1 500 selon Le Dauphiné Libéré
Valence : 7 000 selon Le Dauphiné Libéré (4 000 selon la police)
Occitanie
Toulouse : 120 000 selon la CGT (14 000 selon la police)
Montpellier : 15 000 selon la CGT (7 100 selon la police)
Perpignan : 10 000 selon les syndicats (3 800 selon la police)
Béziers : 10 000 selon la CGT (6 500 selon la police)
Nîmes : 16 000 selon les syndicats, 10 000 selon la presse (3 500 selon la police)
Alès : 2 500 selon la police
Rodez : 9 000 selon les syndicats (5 500 selon la police)
Albi : 10 000 selon les syndicats (5 000 selon la police)
Provence-Alpes-Cote-d’Azur
Marseille : 220 000 selon la CGT (22 000 selon la police)
Nice : 20 000 selon la CGT (3 500 selon la police)
Avignon : 8 000 à 10 000 selon les syndicats (3 500 selon la police)
Digne : 2 500 selon la CGT (1 400 selon la police)
Toulon : 15 000 selon les syndicats (3 700 selon la police)
Arles : 4 000 selon la CGT (900 selon la police)
Jeudi 9 janvier, c’était une nouvelle journée de grève générale. Encore une mobilisation massive à Nantes. Choses vues :
– Au moins 25 000 manifestants et manifestantes dans les rues. Autant qu’en décembre
– Un énorme cortège de tête hétérogène avec beaucoup de lycéens et lycéennes
– Des centaines de forces de l’ordre au contact de la manif
– Une nasse mobile : un dispositif étouffant appuyé par un hélicoptère
– Des dizaines de parapluies, de la peinture, des fleurs, de l’art …
– Yoda et une batucada
– Beaucoup de Kways noirs, mais trop peu de détermination
– Du gaz dès le premier tour, bloquant le parcours
– Des escarmouches tout le reste de la manifestation
– Le réseau de ravitaillement des luttes et sa playlist offrent une bande son aux affrontements
– Des averses de pluie et de grenades qui douchent les énergies
– Deux arrestations brutales
A demain samedi !