Ouaif… Moyen comme analyse. Déjà, en logique, « bien intentionné » ne peut pas être opposé aux catégories qui consistent à proposer (ce que je trouve pertinent) de faire descendre pression et exigence… puisque ciels qui promeuvent le « darwinsime » social et politique chez nous considèrent avoir d’excellentes intentions (un monde meilleur pour ciels qui auront survécu quoi)
mais surtout, le vrai pouvoir, c’est celui de ciels qui n’ont pas à bouger, qui usent du silence comme une arme, qui écrasent par leur simple position sociale, vers qui convergent les positivations, les valorisations, les désirs ; les « brutaux », qui ont besoin déjà de taper sur la table, c’est du pouvoir aussi, mais c’est déjà le niveau au dessous ; le vrai pouvoir marche parce qu’il n’est pas perçu comme tel ; et à la fin des fins, les réactions « agressives » à ce pouvoir automate, immobile, écrasent, sont ce qui est pointé comme « violent », alors que la violence sociale générée, elle, reste inquestionnée, normalisée, consensuelle, c’est comme ça
bref, bien d’accord pour critiquer la fétichisation de la dureté (laquelle peut d’ailleurs avoir une apparence très soft), de la violence, de la « lutte », etc., mais pas pour remblayer encore plus ce qui se tient dessus et en vit ! d’où aussi la nécessaire critique de la « non-violence », y compris dans nos paradis « subversifs », où nous avons un putain de rapport pas clair au pouvoir structurel, honni ici, positivé là…
Ouaif… Moyen comme analyse. Déjà, en logique, « bien intentionné » ne peut pas être opposé aux catégories qui consistent à proposer (ce que je trouve pertinent) de faire descendre pression et exigence… puisque ciels qui promeuvent le « darwinsime » social et politique chez nous considèrent avoir d’excellentes intentions (un monde meilleur pour ciels qui auront survécu quoi)
mais surtout, le vrai pouvoir, c’est celui de ciels qui n’ont pas à bouger, qui usent du silence comme une arme, qui écrasent par leur simple position sociale, vers qui convergent les positivations, les valorisations, les désirs ; les « brutaux », qui ont besoin déjà de taper sur la table, c’est du pouvoir aussi, mais c’est déjà le niveau au dessous ; le vrai pouvoir marche parce qu’il n’est pas perçu comme tel ; et à la fin des fins, les réactions « agressives » à ce pouvoir automate, immobile, écrasent, sont ce qui est pointé comme « violent », alors que la violence sociale générée, elle, reste inquestionnée, normalisée, consensuelle, c’est comme ça
bref, bien d’accord pour critiquer la fétichisation de la dureté (laquelle peut d’ailleurs avoir une apparence très soft), de la violence, de la « lutte », etc., mais pas pour remblayer encore plus ce qui se tient dessus et en vit ! d’où aussi la nécessaire critique de la « non-violence », y compris dans nos paradis « subversifs », où nous avons un putain de rapport pas clair au pouvoir structurel, honni ici, positivé là…