Un État commun – un livre et un film . rencontre avec eric hazan et eyal sivan
Catégorie : Global
Thèmes : Libérations nationales
Intitulé « Un État commun entre le Jourdain et la mer », les auteurs le présentent ainsi : « L’État commun n’est pas une position de repli devant l’échec de la ‘solution’ de deux États. Ce n’est pas non plus, contrairement à une opinion répandue, ‘une des deux solutions possibles’ entre lesquelles on aurait à choisir, comme au marché entre carottes et betteraves. C’est la seule voie réaliste car elle est la seule à prendre en compte la situation actuelle, loin des projections géopolitiques ou démographiques. »
Eyal Sivan a ajouté à cet ouvrage un film intitulé « État commun, conversation potentielle ».
Un État commun entre le Jourdain et la mer, Éditions La Fabrique, 67 pages.
État commun, conversation potentielle, Momento Films, 123 minutes.
Eric HAZAN
Eric Hazan est directeur des Éditions La Fabrique, et écrivain (dernier ouvrage publié : Paris sous tension – 2011-)
et
Eyal SIVAN
Cinéaste israélien, professeur à la School of arts and digital industries de University of East London, il enseigne aussi le cinéma à l’Institut universitaire Sapir de Sderot. Parmi ses derniers films : Route 181 avec Michel Khleifi (2003), pour l’amour du peuple (2004), et Jaffa, la mécanique de l’orange (2009)
Voir la présentation de ces ouvrages :
Deux États pour deux peuples? Un seul État dans la Palestine historique, patrie de tous ses habitants, Juifs et Arabes? C’est un débat récurrent parmi des intellectuels et même parmi de simples citoyens, qu’ils soient Israéliens ou Palestiniens. L’éditeur français Eric Hazan et le cinéaste israélien Eyal Sivan viennent d’écrire un livre pour ouvrir enfin ce débat en France. Intitulé « Un État commun entre le Jourdain et la mer », les auteurs le présentent ainsi : « L’État commun n’est pas une position de repli devant l’échec de la ‘solution’ de deux États. Ce n’est pas non plus, contrairement à une opinion répandue, ‘une des deux solutions possibles’ entre lesquelles on aurait à choisir, comme au marché entre carottes et betteraves. C’est la seule voie réaliste car elle est la seule à prendre en compte la situation actuelle, loin des projections géopolitiques ou démographiques. »
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