Luc ferry persiste dans la haine de classe sur la radio milles collines sakozyste
Catégorie : Global
Thèmes : Luttes étudiantes/lycéennes
Entendu ce matin dans l’émission « les grandes gueules sur RMC alias la Radio Milles Collines du Sakozysme godillot la main sur la couture du pantalon relire, une émission ou paraitrait-il on laisse la « parole » aux auditeurs , mais ou le standard filtre-censure tout les appels non Sarkozystement correct.
http://www.acrimed.org/article1826.html
Ou ce matin Luc Ferry pérorait et vomissait sa haine de classe aux coté de Sophie de Menton béate d’admiration responsable du mouvement « ethic » (un satelite du Medef ) et « créatrice » de la « fête » de l’aliénation salariée alias j’aime ma droate pardon « j’aime ma boite ».
A propos des grèves des étudiants, des chercheurs, des enseignants l’ex ministre et « philosophe » éructe en citant Raffarin
« ce n’est pas la rue qui gouverne »
a une auditrice qui a réussi a passer le filtre- censure du standard de la radio Rmc et qui l’interpelle car elle a été choquée , par la phrase de Raffarien cité par l’ex sinistre Luc Ferry
celui-ci répond
« j’assume mes dires et j’approuve Valérie Pecresse il est temps que des ministres qui font bien leur boulot (sic) cessent de démissionner quand il y a trois couillons qui défilent dans la rue avec trois pancarte, je réitère mes propos ce n’est pas a la rue de gouverner ».
voici donc une réponse des “trois couillons” en question
Nous rappellerons a cette « lumière » de la « philosophie » qu’est Luc Ferry que ce sont pourtant bien ces « trois couillons avec trois pancartes » qui se sont battus contre le CNE- CPE et les « réformes » casses sociales de ce sinistre de l’éducation et de son prédecesseur De Villepin qui l’ont foutu dehors a coups de pieds dans le cul à l’époque ou il pantouflait au sinistére de l’éducation, et qui lui ont permis aujourd’hui d’être hélas grassement payé, a pantoufler au « conseil économique et social ».
Quand au trois couillons qui défilent avec des pancartes, et bien ils se sentent finalement bien moins seuls que ça , et surtout bien moins seuls que les quatre ou cinq abrutis qui grenouillent dans les ministères et autres « conseil économique et social » bien au chaud et bien engoncés dans leur haine de classe, surprotégés par des armées de baceux , mobiles et Crs dans les salons feutrés de leurs pitoyables châteaux.
Comité des trois couillons et Qelques autres milions de récalcitrant-es
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