Difficile de savoir leur nombre. Ceux qui étaient dedans estiment qu’ils étaient à peu près 150. Peut être plus, puisqu’on parle de 24 arrestations, mais on a vu deux “policebus” partir vers la centrale de la Police. Le reste des “capturés” , à peu près une centaine de personnes sont sorties en bloc et ont remonté la rue Asclipiou pour se retrouver devant le centrale de la police une heure plus tard. Deux manifestations les ont rejoint. Témoins des incidents et les personnes qui se trouvaient devant ont été battus et arrêtés aussi. Les arrêtés ont été traditionnellement battus au sein de la centrale. Infos par ceux qui ont été relachés.
Les arrestations ont été comme d’habitude arbitraires: Les personnes devant futent entrés dans les “policebus”, les autres rélachés. Comptant parmi les “emmenés” la mamie qui est juste descendue à l’épicerie. Un représentant de l’association des avocats essaiera de porter plainte via un prosécuteur, pour l’arbitraire des attaques policières et les arrestations arbitraires. SI L’ÈTAT NE VEUT PAS DES CASSURES, Il n’a qu’à placer les policiers devant les bâtiments et non derrière et tout autour des manifestants.

Ce dernier groupe fut battu par la police. Symboliquement presque, plusieurs manifestants ont eu le crâne ouvert (18ème anniversaire de l’assassinat du professeur Temponeras qui a été filmé quittant les “lieux” sur une civière, crane ouvert, cervelle dehors . Un d’entre eux est resté blocqué dans l’immeuble 40 minutes, alors que la clinique se trouvait juste en face. Des ambulances ont fait le tour (vu que tout a été bloqué) pour récupérer le manifestant. Qui une fois sorti de la clinique a été immédiatement re- attaqué. La personne a perdu connaissance et a été laissé saignant sur le trottoir. Deux infirmiers sont sorties, ils fûtent battus eux aussi. Le bis-blessé toujours saignant sur le trottoir.
Une femme a été utilisé comme victime exemplaire(coup de matraque sur la tête) pour casser la bande de civile qui demandaient la relaxe immédiate de cette siège arbitraire et injustifiable.
On ne connait rien exactement sur le nombre des arrestations. La police entre dans nos domiciles: Immigrés, avocats défendants les manifestants, personnes anciennement recherchés par la police. On a pas le droit d’assister aux procès.
Un grand nombre de personnes se trouvent actuellement devant le centrale de la police et demande la relaxe immédiate des arrêtés. On demandera également la démission du directeur de la police et la condamnation de ses méthodes terroristes.
La lutte pour la démocrate et la justice continue.