Paris 20 juin carla bruni sarkozy se déplace les tonfas aussi
Catégorie : Global
Thèmes : Immigration/sans-papierEs/frontieres
Paris madame Carla Bruni Sarkozy se déplace les tonfas aussi
Des nouvelles de la bourse du travail de la rue charlot à Paris occupée par les grévistes sans papiers depuis bientôt plus de 45 jours
Alerte et grosses pressions policières cette après midi du 20 juin 2008
Témoignage :
Vers 14 heures 15 heures de cette après midi du vendredi 19 juin on a assisté dans le quartier de la bourse et le quartier de la place de la république a un déploiement énorme de » civils » et autres Crs , et qui en plus sont pas arrivés les mains vides c’est le moins qu’on puisse dire , tonfas, flashballs, grilles anti émeutes pliables a l’arrière des camions , étaient aussi de la partie.
Des « civils » ont même tentés de renter a l’intérieur de la bourse du travail, tout le monde à donc cru que c’était une descente pour expulser les sans papiers grévistes qui occupent la bourse du travail
-les grévistes ne se sont pas laissés faire et sont restés solidaires et fermes, interdisant aux « civils » de pénétrer dans la bourse du travail, peu après les réseaux de solidarité on relativement bien fonctionnés et des soutiens en nombre sont arrivé progressivement, du coup Crs et « civils » on reculés plus loin et se sont redéployés relativement moins prés de la bourse du travail occupée.
Explication et court résumé des faits :
En fait c’était parce qu’il y avait madâme Carla Bruni Sarkozy qui se faisait interviewer pour la promotion de son prochain « disque » chez « libération » alias le torchon des starteupes et des bobos dont la « rédaction » et le siége « social » se trouve une centaine de mètres plus loin juste dans la rue située derrière la bourse du travail
-Une « promotion » qui tenez vous bien fut aussi « perturbée » par les « méchants » activistes et preneurs « d’otages » d’artistes présidentiels » de la coordination des intermittents et précaires d’île de fRANCE qui avaient eux aussi choisi de s’inviter au pince fesse médiatique de « libération ».
– d’ou l’énorme déploiement policier et de chaussures sa clous qui étaient persuadés comme par « hasard » merci le coup de provocation, que les grévistes sans papiers allaient eux aussi s’inviter au pince fesse promotionnel du « disque » de madame Carla Bruni Sarkozy
Encore une belle leçon de «démocratie » au quelle nous avons assistés cette après midi et que nous donne cette promotion d’une mannequin « chanteuse » accessoirement épouse présidentielle et paraîtrait –il doublée d’une femme de « gauche ».
SOLIDARITE AVEC LES OCCUPANTS GREVISTES SANS PAPIERS DE LA BOURSE DU TRAVAIL DE LA RUE CHARLOT
PERSONNE N’EST ILLEGAL-E
Vous avez oubliez de citer qu’elle avait 1/6 eme de cerveau relativement à son mari. On reste tous en attente d’autres référents quantitatifs sur la taille et le nombre de cerveau des proches du PR, Hortefeux, Dati, Lagarde, Bertrand…
Les paris sont ouverts.
Voilà le communiqué des manifestants :
Aujourd’hui vendredi 20 juin, Carla Bruni devait être « rédactrice d’un jour » du quotidien Libération. Les salariés du journal, représentés par leur intersyndicale, se sont opposés à ce projet et ont obtenus gain de cause. La direction a donc réduit l’intervention de Madame le Président Nicolas Sarkozy à un long entretien destiné à la publication dans les colonnes du journal.
Au moment où, rue Béranger, Carla Bruni descendait de son véhicule pour aller s’entretenir et déjeuner avec Monsieur Laurent Joffrin et certains de ses collègues, des chômeurs, des intermittents et des précaires l’ont accueillie au cris de « Sarkozy au RMI, Carla au RSA ! ». Peu désireuse de fréquenter le populaire quand il n’est pas de son fan club, Mme Sarkozy s’est alors évaporée vers la terrasse de l’entreprise qui la recevait tandis que les manifestants se trouvaient bloqués dans le hall de l’immeuble, au nom de « l’indépendance de la presse » et de la « résistance à la dictature »…
La manifestation s’est poursuivie au son de « Carla en CRA ! » (centre de rétention administrative), « les rentiers en rétention ! » tandis que défilaient des stagiaires non payés et des journalistes don bon nombre refusaient de lire les tracts qui leur étaient tendus, se montrant ainsi de parfaits exemples d’une inapétence à la lecture dont on entend partout déplorer qu’elle contribue à la crise financière que connaît la presse écrite.
Refusant de travailler plus pour ne pas gagner davantage, les ébrêcheurs de consensus ont quittés cet établissement pour rejoindre, non loin de là, les sans papiers occupants la Bourse du Travail rue Charlot, en lutte pour leur régularisation.
Commission Sarkozy au RMI.