Gilad atzmon :“ ziotacticus autisticus“
Catégorie : Global
Thèmes : Libérations nationales
Lieux : Nantes
GILAD ATZMON :“ ZIOTACTICUS AUTISTICUS“
Ziotacticus Autisticus
par Gilad Atzmon
on Peacepalestine.blogspot.com, 29 mars 2007
http://peacepalestine.blogspot.com
traduit de l’anglais par Marcel Charbonnier
EMMERDEURS
Au début, ils m’interpellaient, interrompant mes concerts. Je me souviens, la première fois… C’était en 201, trois jours après les attentats du 11 septembre. C’était au Festival de Jazz de Hull, la salle était bondée. Pendant un entracte, un militant d’une organisation de solidarité avec les Palestiniens me demanda d’annoncer une manifestation destinée à récolter des fonds pour Palestinian Medical Aid. Juste histoire d’être réglo, je suis allé voir le producteur du spectacle et je lui ai demandé s’il m’autorisait, ou non, à faire cette annonce. Disposant de son aval, j’ai donc fait l’annonce, entre deux morceaux. A peine quelques secondes après, une emmerdeuse sioniste m’a coupé la parole, hurlant : « Et les juifs, alors ? » Elle beuglait, avec une voix marante, haut perchée, couinant. J’étais stupéfait. Je ne m’y attendais absolument pas. Il faut dire qu’en 2001, j’étais encore vachement naïf. Je me suis rendu compte que je ne lui avais pas gueulé après, alors que j’avais le micro dans les mains et que j’étais soutenu par un énorme système d’amplificateurs ! Calmement, j’ai répondu à sa question interruptrice. Les juifs ? Je ne sais pas… J’imagine qu’ils continuent à absorber leur consommé de poulet en quantités industrielles ? La salle éclata de rire. Ce fut une sorte de soulagement comique. L’emmerdeuse n’était pas contente du tout. Elle se leva, en colère, entraînant son mari derrière elle, et ils quittèrent la salle, outrés. Les spectateurs les ont regardé tandis qu’ils s’éclipsaient, réprimant leur fou rire. J’étais choqué.
Apparemment, cette emmerdeuse ne fut que la première hirondelle. Durant les deux années suivantes, des emmerdeurs sionistes ne cessèrent de se pointer à mes concerts. Ils hurlaient, régulièrement, alors que moi, je répondais calmement et très poliment à leur colère. J’ai appris à compter sur le soutien de la sono. Plus ils gueulaient, plus ma réaction était soft. Quelquefois, ils me menaçaient en hébreu. Là encore, je traduisais leur merde en anglais. « Fils de pute, traître, étron, nazi, antisémite, ah, si tu avais pu crever à Auschwitz, Judenrat, etc… » Soirée après soirée, les emmerdeurs finissaient par mettre mon public dans l’embarras, et même par l’humilier. Tandis qu’ils repartaient, j’expliquais calmement à mon public que ce genre de gens sont tout à fait ceux qui sont engagés dans le projet criminel sioniste. A un certain stade, les trublions finirent par admettre leur défaite : ils me lâchèrent les baskets. Cela fait bien quatre ans, aujourd’hui, que nous n’avons plus revu le moindre perturbateur, à un de mes concerts…
MENACES DE MORT
Mais il n’a pas fallu longtemps pour qu’une nouvelle tactique d’imposition du silence soit lancée. Cette fois-ci, il s’agissait de menaces de mort. La mort, c’est quelque chose de très important, dans la culture juive. Simone Weil l’évoque sous l’intitulé de « la destruction de l’ego ». Cette fascination de la mort explique peut-être pourquoi les juifs, de manière très générale, tant de gauche que de droite, sont en train de succomber à ce qu’on peut appeler la religion de l’Holocauste.
Toutefois, ayant commencé à publier ma pensée, un bombardement de méls haineux et de menaces de mort commença à se déverser dans ma messagerie électronique. Ils ont dû croire que la peur de la mort me ferait taire ? Naturellement, ils projetaient leurs propres symptômes sur moi. J’ai commencé à archiver ces messages de mort, à partir d’un certain moment, dans la perspective de les publier, un jour. Je pensais qu’ils donnaient un aperçu absolument unique de la pensée poétique sioniste.
J’ai occulté les noms des expéditeurs et les adresses mél, mais tous ces messages sont réels, et j’en conserve les fichiers.
Ainsi, par exemple, Joel Goldtown ne m’aimait pas beaucoup… Eh bien, il eut quand même un jour la gentillesse de me souhaiter une bonne journée :
From : Joel.goldtown@XXXXX.com To : gilad@gilad.co.uk. Sent : Monday, July 11, 2005 9:11 PMS
Subject : Je pense que tu es un cinglé bâtard de mère. Bonne journée !
Brad fut, quant à lui, légèrement plus hostile :
From : « Brad Quickie To : Sent : Tuesday, December 02. 2003 2:09 PM
Subject : Hello
Hello ! C’est toi, qui a écrit cet article antisioniste ? Ah, si tu avais pu crever dans un attentat terroriste en Israël. Tu le mériterais, putain de sac de merde. C’est les juifs comme toi, qui ont aidé les nazis. Sérieux : va te faire enculer ! Va sucer la bite de quelque membre du Hamas, saloperie de morceau de merde !
Je dois préciser que ce mél m’a été envoyé en 2003, soit trois ans avant que le Hamas ait été démocratiquement élu par la grande majorité du peuple palestinien. Apparemment, Brad avait un certain don prophétique : il me suggérait d’aller sucer les bons !
Le 21 / 2 / 2005 à 6:01 PM, Cjraeli envisageait de nouvelles possibilités pour un tourisme orienté sionisme.
From : Cjraeli@XXX.com To : gilad@gilad.co.uk Sent : Monday, Frebruary 21, 2005 5:57 PM
Subject : (no subject)
Et si je venais dans la jolie vieille Angleterre, je serais sûr de t’y trouver.. et ce jour serait ton dernier ,
Quatre minutes après, à 6:01 PM, il ne pouvait plus se retenir. C’était décidé : il était en train d’acheter le billet d’avion.
From : Cjraeli@XXX.com To : gilad@gilad.co.uk Sent : Monday, Frebruary 21, 2005 6:01
Subject : (no subject)
Alors, tu sais quoi, saloperie ? J’ai pris mon billet… A tout de suite ?
Je suppose que Cjraeli est toujours en train d’errer en Grande-Bretagne. Cela fait désormais deux ans ; il attend probablement l’opportunité de me fixer ce rendez-vous avec mon créateur…
Arik Eyesore, d’Israël, m’a juré que ça arriverait à la fin d’un de mes spectacles. Finalement, cela m’a plu ; pour rien au monde, je n’aurais voulu être tué AVANT un concert !
arik.eyseore To : Sent : Wednesday, January 22, 2003 2:39 PM Subject : Gilad
C’est à cause de gens comme toi qu’on a subi la SHOA. Ton PAPA et ta MAMAN ont sans doute honte de toi ! JE SUIS CONTENT QUE TU SOIS LA-BAS ET PAS ICI, COMME CA, LES ANGLAIS, LES EUROPEENS ET TES PEDES DE PALESTINIENS DEVRONT SE TORTORER TON CERVEAU POURRI ET TA GUEULE HORRIBLE. ET MES AMIS TE PROMETTENT UNE SURPRISE APRES UN DE TES SHOWS ! ! ! ET VA TE FAIRE ENCULER ! ! !
Moshe Rabin a une approche biblique du sujet. En 2003, il me souhaite la mort ou un malheur, sous cinq jours :
From : Moses Rabin To : atz@onetel.net.uk Sent : Wednesday, January 22, 2003 8:47 Subject : je te souhaite
Hello, je te souhaite de tout mon cœur que quelque chose de terrible t’arrive dans les cinq jours à venir.
Au revoir
Meilleures salutations
Moishe R.
Apparemment, je suis toujours là. La malédiction de Rabin n’a pas vraiment fonctionné. Arik a dû venir assister à un de mes concerts, et il est devenu amoureux de ma musique… C’est compréhensible : après tellement d’années, j’en suis moi-même venu à apprécier ma propre musique !
Aussi bizarre cela puisse paraître, je ne reçois plus de menaces de mort. Cela fait deux ans que je n’en ai pas reçue la moindre. J’ai conscience que cela ne signifie nullement que je vivrai éternellement. Cela ne veut même que mes frères me laisseront mourir de ma belle mort. Cela signifie simplement que les agents sionistes ont pris conscience du fait que cette tactique est inopérante, tout du moins, en ce qui me concerne. Au plus fort de la saison des menaces de mort, j’en recevais une vingtaine par jours ; à l’époque, j’avais l’impression que c’était le monde juif tout entier qui m’en voulait. Les menaces ayant cessé, j’ai compris que, plus vraisemblablement, ces méls agressifs n’étaient rien d’autre qu’une campagne orchestrée, mise sur pied par l’une ou l’autre association sioniste. De fait, aujourd’hui, la circulation de mes articles est incommensurablement plus large. Certains d’entre eux atteignent de quatre à sept millions de lecteurs. Pourtant, aucun message menaçant ne m’est plus adressé. Cela signifie-t-il qu’ils m’acceptent ? Sont-ils d’accord avec moi ? Peu probable…
CRYPTOSIONISTES
Réduits à l’impuissance, les opérateurs sionistes n’ont plus d’autre choix que de tenter de mobiliser le mouvement de solidarité avec les Palestiniens contre moi. Leur unique façon, pour ce faire, consiste à mobiliser leurs frères de tribu, au sein dudit mouvement.
A première vue, cette décision semblait vraiment très bien calculée. Les manipulateurs sionistes voyaient bien que je m’abstenais délibérément de collaborer avec les cellules sectaires juives racialement et tribalement orientée, à l’intérieur de ce mouvement. Bien que Jews Against Zionism [JAZ] (Juifs Contre le Sionisme, ndt) et Jews for Justice for Palestinians [JfJfP] (Association des juifs pour la Justice pour les Palestiniens – une sorte d’UJFP à la mode anglaise, ndt) m’eussent approché, peu après leur constitution, je les avais envoyés promener catégoriquement, eux et leur approche. Mon argumentation contre toute forme d’activité clanique juive était tout à fait claire. Je pensais qu’étant donné que le combat pour la justice en Palestine est une mission humaniste générale, il n’était nul besoin de le mener de l’intérieur d’un groupe affilié à une ethnie ou à une tribu. De plus, si le sionisme avait, effectivement, le tort majeur d’être une idéologie raciste, il était parfaitement absurde de vouloir le contrer au moyen d’une autre idéologie raciste (Les juifs pour ceci ou pour cela, Les juifs contre ceci ou contre cela…). La gauche juive, en Grande-Bretagne, fut dévastée par ma tentative de les dénoncer sous un tel jour. Même si pas mal d’entre ses membres avaient conscience qu’il y avait plus qu’un simple noyau de vérité dans ma critique, une petite poignée d’entre eux décidèrent de rejoindre la guerre sioniste menée contre moi…
Les gens qui menaient cette guerre sioniste contre moi, au nom de Marx et de Moïse, étaient, en réalité, fort peu convaincants. Ils étaient bien incapables de l’emporter, même dans un million d’années.
Leur tactique était vraiment superficielle. Ils prenaient une citation, dans un de mes articles : « Nous devons commencer à prendre très au sérieux l’accusation selon laquelle les juifs sont en train de vouloir contrôler le monde. » Ils étaient convaincus que, grâce à cette seule citation, ils seraient en mesure de m’abattre. Ils avaient tout à fait tort. Ils échouèrent lamentablement. Pourquoi ? Parce qu’il semble que toute personne non-tribale ayant décidé de vérifier mon texte dans sa version originale [1] a fini par tomber d’accord avec moi. J’y faisais référence, spécifiquement, aux néocons sionistes au sein de l’administration Bush ; j’énumérais même leurs noms, et il y en avait toute une liste. Toutefois, du temps s’étant coulé, d’éminents universitaires américains, tels le professeur James Petras (The Power of Israel in The United States) partagèrent cette volonté d’exposer une observation aussi évidente. Peu après le lancement de son attaque par Petras, John Mearsheimer et Stephen Walt publièrent leur rapport académique sur le lobby israélien en Amérique. Aujourd’hui, toute personne désireuse de se pénétrer du discours politique palestinien comprend bien que nous devons commencer à prendre cette accusation très au sérieux.
Les combattants de la campagne éthique juive étant imbus de discours juif, les agents cryptosionistes ainsi recrutés furent incapables de faire passer leur discours dans un large public. Plus ils criaient fort, plus ils se retrouvaient isolés. La raison était simple. Les opinions que je défendais étaient en train de devenir des observations très largement consensuelles. Bien que ce soit bien contre Israël, que se battent les Palestiniens, Israël n’est pas autre chose qu’un nom de code désignant l’Etat réservé aux seuls juifs. Aussi triste cela soit, Israël, cet Etat raciste, est soutenu par des lobbies extrêmement puissant, agissant dans le monde entier. Ces lobbies ont réussi à transformer la Grande-Bretagne et les Etats-Unis en supplétifs chargés de combattre les dernières poches de la résistance arabe et musulmane. Israël, sur notre planète, est le seul pays à tirer profit de l’impitoyable guerre qui est en train de ravager l’Irak. Après deux ans de combat acharné, les Chevaux de Troie sioniste au sein du mouvement britannique de solidarité avec les Palestiniens ont réussi à se marginaliser au point de l’auto-humiliation totale. Voici quinze jours, ils ont essayé de faire adopter une motion lors du congrès de Palestine Solidarity Campaign, qui aurait donné une définition du sionisme et décidé quels groupes et quels individus étaient « antisémites », afin de briser tous les liens avec eux. Ils ont été défaits par un score inouï de 95 % des voix contre. Pratiquement, tous les militants pro-palestiniens ont voté contre cette motion, c’est-à-dire contre eux et contre ce qu’ils représentent. Les sionistes ont dû mettre les pouces.
LES SIONISTES COLLABORENT AVEC LE MAL
Les cryptosionistes ayant mordu la poussière, les véritables sionistes durent se résoudre à m’attaquer par eux-mêmes.
D’accord avec Lenni Brenner, qui a démontré au-delà de tout doute possible que les sionistes ont tendance à collaborer avec le Mal, j’eus le plaisir de constater que dès lors que j’était assimilé au « mal » officiel, les sionistes commençaient à travailler pour moi, en diffusant mon message et mes pensées.
Incapables de tirer la nécessaire conclusion de la défaite infamante de leurs frères tribaux infiltrés au sein du mouvement de solidarité avec la Palestine, les agents sionistes décidèrent de tenter de couvrir un nouveau montage recyclant la sempiternelle citation. Levant les yeux au ciel, ils « argumentaient » : « Gilad dit qu’en ce qui concerne l’activité du lobby juif en Amérique, les questions relatives à l’authenticité des Protocoles des Sages de Sion n’ont pas grande signification. On s’attendrait à ce qu’ils l’emportent, dans un débat portant précisément sur ce point, mais apparemment, ils ne purent que perdre. Pour une raison simple : l’American Jewish Committee [AJC] prônant une guerre contre l’Iran [2], personne ne cherche à savoir si les Protocoles étaient un faux des services tsaristes, ou non. Bref : les sionistes ont fini par me blâmer d’avoir dit la vérité. Comme leurs frères marxistes, ils se sont retrouvés coincés dans une situation perdant-perdant.
Jusqu’à présent, les sionistes sont loin d’être sophistiqués, tout au moins, face à moi. Bien qu’ils aient été battus à plates coutures dans toutes les batailles qu’ils avaient déclenchées contre moi, ils ont jugé opportun de tenter leur chance sur le front international. La semaine dernière, j’ai prononcé un discours, en Suède, dans le cadre d’une conférence organisée notamment par le Parti Social Démocrate suédois. Les agents sionistes opérant dans les médias suédois pensèrent que l’opportunité en or pour écraser l’establishment politique suédois antisioniste était arrivée. « La gauche sioniste dort avec les antisémites », titrèrent deux journaux suédois. Toutefois, deux jours après, ces deux mêmes journaux finissaient par publier mes réponses, in extenso, et avec tous les détails. Alors que lors de la conférence, je m’étais adressé à environ 150 personnes plus ou moins au courant du sujet, et même de mes idées, grâce à mes nouveaux supporters sionistes suédois, j’ai réussi à communiquer avec 600 000 Suédois qui étaient sans doute jusqu’ici mal informés au sujet de la question israélo-palestinienne.
Cette enchaînement des choses, en Suède, ne fut absolument pas une surprise pour moi : il s’agissait fondamentalement d’une répétition d’un phénomène similaire, qui s’était produit dans le quotidien The Guardian, juste avant Noël [3]. Dans le Guardian, c’était le diffamateur sioniste David Hirsh, du mouvement Engage [4], qui m’avait ouvert une porte et, pratiquement, qui avait lui-même refermé la porte devant lui. Pour le moment, les diffamateurs sionistes ne font rien d’autre que m’ouvrir des portes, ainsi qu’à mes idées. Je ne sais pas comment remercier mes nouveaux « alliés » de leur soutien mondial. Sans eux, je ne serais jamais arrivé là où je suis arrivé. Il y a un vieux dicton, qui dit : « Une mission vertueuse est toujours accomplie par d’autres que toi-même » Je ne sais pas si je suis réellement vertueux, mais apparemment, pour le moment, ce sont les sionistes qui font connaître mes pensées au grand public. Dans les arts martiaux, on apprend à ne pas utiliser essentiellement sa propre force, mais à se servir du poids de l’adversaire pour le maintenir au sol.
C’est ce que je suis en train de faire, et je puis vous dire que notre ami est particulièrement lourdaud et pataud
NOTES :
[1] : http://www.gilad.co.uk/html_files/onanti.html
[2] : http://www.ajc.org/site/apps/nl/content3.asp?c=ijIT12PH…49231
[3] : http://www.commentisfree.guardian.co.uk/gilad_atzmon/20….html
Contribution mise en débat tant que nous n’arriverons pas a cerner son interret informatif et ses aspects desinformatifs.
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