Pour info à 20h déjà 3 cars de crs a commerce et 3 camionettes de police ….
Commentaires
Les commentaires sont modérés a priori.
pour tous et toutes
en plus des « présences » « visibles » de l’empire du mal
il y avait hier soir de nombreux civils sur les différents accés au centre ville , toute la nuit il y a eu des actions de renseignement de leur part …
beaucoup de voitures banalisées noires blanches et grises (peugeot 607 ,306,406,407 ford mondeo mais pas que…) qui suivent les interventions des baqueux zet baqueuses en civil .
avec des « agents » infiltrés dans le cortège même…
Je note qu’en allant nous reposer avant la manifestation de ce soir avec un ami, une personne au blouson beige/or velour nous a suivi. Paranoïa ? Jugez par la description de la scène :
Nous discutions en sortant de la place Royale. Je faisais part à mon ami que je n’avais pas l’habitude de jeter des pavés sur les valets des assistés de la finance. Je n’ai pas l’habitude d’agir de cette façon, mais c’est certainement parce que je ne fais pas parti de ceux qui souffrent du capitalisme. Et très clairement, je manque de courage.
Nous en discutions, donc, et je note le visage rigide de cet homme à côté de qui nous passons (il s’écarte d’ailleurs pour nous laisser passer sur le trottoir), et en avançant, je me rend compte qu’il suit le même chemin. Méfiant, vu le contexte, je propose à mon ami, plutôt que de suivre notre chemin, de tourner à un petit carrefour.
Nous restons donc là, à attendre ce monsieur, qui préfère, lui tourner dans l’autre sens. En nous voyant le regarder par la vitrine du magasin de l’angle, il ralenti, visiblement déçu de s’être fait repérer. Baissant la tête, il poursui sont chemin, contournant le batiment pour retourner sur la place Royale.
La scène était plutôt drôle, mais mon ami était agacé de ce flicage proprement antidémocratique. Il a finalement décidé de cacher son quéfier en dessous de son pull…
rendez vous avait ete donné implicitement à un autre endroi, qui au moment de notre arrivée était déjà envahi de baceu:
fouille au corp, des sacs, photos prises, perso je me suis fais emmerder pour un tournevis et ils ont embarqué le mini dv de ma camera
l’état policier est en marche, ils arrivent à nous empecher de nous regrouper
les flics sont parmi nous, meme par le bouche à oreille ils sont au courant de nos lieux de rdv
j’avoue que je suis rentré pas fier chez moi mais je pense aux camarades retenus en otage par cet état qui ressemble de plus en plus, meme si c’est insidueux, à la France de Pétain…
bon courage à tous, l’Histoire est là pour nous montrer que nous finirons par vaincre les fachisants!
pour tous et toutes
en plus des « présences » « visibles » de l’empire du mal
il y avait hier soir de nombreux civils sur les différents accés au centre ville , toute la nuit il y a eu des actions de renseignement de leur part …
beaucoup de voitures banalisées noires blanches et grises (peugeot 607 ,306,406,407 ford mondeo mais pas que…) qui suivent les interventions des baqueux zet baqueuses en civil .
avec des « agents » infiltrés dans le cortège même…
Je note qu’en allant nous reposer avant la manifestation de ce soir avec un ami, une personne au blouson beige/or velour nous a suivi. Paranoïa ? Jugez par la description de la scène :
Nous discutions en sortant de la place Royale. Je faisais part à mon ami que je n’avais pas l’habitude de jeter des pavés sur les valets des assistés de la finance. Je n’ai pas l’habitude d’agir de cette façon, mais c’est certainement parce que je ne fais pas parti de ceux qui souffrent du capitalisme. Et très clairement, je manque de courage.
Nous en discutions, donc, et je note le visage rigide de cet homme à côté de qui nous passons (il s’écarte d’ailleurs pour nous laisser passer sur le trottoir), et en avançant, je me rend compte qu’il suit le même chemin. Méfiant, vu le contexte, je propose à mon ami, plutôt que de suivre notre chemin, de tourner à un petit carrefour.
Nous restons donc là, à attendre ce monsieur, qui préfère, lui tourner dans l’autre sens. En nous voyant le regarder par la vitrine du magasin de l’angle, il ralenti, visiblement déçu de s’être fait repérer. Baissant la tête, il poursui sont chemin, contournant le batiment pour retourner sur la place Royale.
La scène était plutôt drôle, mais mon ami était agacé de ce flicage proprement antidémocratique. Il a finalement décidé de cacher son quéfier en dessous de son pull…
rendez vous avait ete donné implicitement à un autre endroi, qui au moment de notre arrivée était déjà envahi de baceu:
fouille au corp, des sacs, photos prises, perso je me suis fais emmerder pour un tournevis et ils ont embarqué le mini dv de ma camera
l’état policier est en marche, ils arrivent à nous empecher de nous regrouper
les flics sont parmi nous, meme par le bouche à oreille ils sont au courant de nos lieux de rdv
j’avoue que je suis rentré pas fier chez moi mais je pense aux camarades retenus en otage par cet état qui ressemble de plus en plus, meme si c’est insidueux, à la France de Pétain…
bon courage à tous, l’Histoire est là pour nous montrer que nous finirons par vaincre les fachisants!
à demain camarades!