[nantes] truander le réel – présentation de parades #2
Lieux : Nantes
La Dérive - 1 rue du Gué Robert – Nantes
Tram 1 – Moutonnerie | Bus 12 – Marcel Hatet
Le samedi 22 juin, une partie du collectif travaillant à la revue Parades viendra présenter son deuxième numéro, sorti à la fin du mois de mai.
Intitulé « Truander le réel », il y est question de légalité, de vols, de masques, de folie, des pratiques d’entraide, du soin dans la communauté, de ce que pourrait signifier « truander les institutions », et au-delà de réfléchir et analyser notre rapport avec elles. Il y est question de guerre civile et de gilets jaunes… il y est question d’une multiplicité d’actes et de gestes qui nous semblent relever de la truanderie, cet ensemble flou, cet espace limite et pourtant si commun, à partir duquel une forme de communauté est peut-être pensable.
Au programme, dès 19h donc :
TRUANDER LE RÉEL : présentation / discussion autour du livre
TRUANDER LA BOUCHE : invitation à dîner ensemble, pour prolonger les discussions et partager un repas ensemble (prix libre, pour soutenir financièrement la revue)
TRUANDER LES BRUITS : Installation sonore, avec le concert de Cerf Boiteux (Rennes)
https://cerfboiteux.bandcamp.com/releases
https://vimeo.com/162673291
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Et le lendemain, Parades et le Taslu vous invitent à la bibliothèque de la ZAD, pour poursuivre la discussion autour de la revue, de la truanderie, des pistes que l’on peut dessiner pour lui faire plus de place.
En attendant la fin du mois de juin, vous pouvez d’ores et déjà commander « Truander le réel » en écrivant à revueparades@riseup.net.
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« Car une parade dépasse toujours la simple défense de soi. Il faut imaginer le boxeur limité à parer les coups. Il sautille, tourne dans le ring, se protège, esquive toutes les attaques de son adversaire, mais n’enclenche jamais. La parade est un moment. C’est le court instant où tout à la fois on évite le coup adverse, on se ménage un relatif espace de calme, et on se prépare à riposter. »
je rêve ou ce texte a été créé avec le générateur de texte appeliste ?
plus vrai que nature, tous les mots sont là…
quand au sens ??
“il y est question d’une multiplicité d’actes et de gestes qui nous semblent relever de la truanderie, cet ensemble flou, cet espace limite et pourtant si commun, à partir duquel une forme de communauté est peut-être pensable.”
c’est de l’auto dérision ?
enfin bon on les connaît les formes de communauté auxquelles vous aspirez, pas la peine d’y penser longtemps…