[nantes] atelier non mixte – consentement
Publié le , Mis à jour le
Thèmes : Genre/sexualités
Lieux : Nantes
28
Fév
le mercredi 28/02/2018 à 18:00
À venir, il vous sera communiqué lors de l'inscription.
À venir, il vous sera communiqué lors de l'inscription.
Atelier non mixte pour parler, discuter, réfléchir à la notion de consentement.
Par le biais d’un atelier ludique, Féministes plurielles et l’Université populaire de Nantes vous propose que nous y réfléchissions ensemble. Bien sûr, chacune sera libre de partager et délivrer ce qu’elle souhaite.
L’idée est de créer un cadre de non jugement où on parle de soi, de ces questionnements et de ses réflexions.
Alors n’hésitez pas à venir ♥ Ça sera en toute safitude!
Dès que le lieu est confirmé, il vous sera communiqué :)
Ouvert aux femmes cis, trans et personnes
non binaires.
***** SUR INSCRIPTION *****
https://www.eventbrite.fr/e/billets-atelier-non-mixte-consentement-42884607014
Il n’y a que 15 places, alors dépêche toi ;)
PRIX LIBRE
Est-il possible d’expliquer le choix de cette mixité choisie ?
Car ça me donne l’impression d’être un peu le cul entre 2 chaises d’une approche féministe (donc plutôt par rapport au patriarcat, d’où pas de mecs a priori) mais qui se veut inclusive des TPG dans une certaine mesure (les intersexes étant absent.e.s comme souvent) d’où pas de mecs cis. Avec j’imgaine l’idée de ne pas avoir les personnes en position de pouvoir lors de ces atelier ?
Car ça ne pose pas la problématique du contexte du consentement ? Dans n’importe quel type de relation avec un mec cis (hétéro, homo) ?
Honnetement, « personnes non-binaires », ça veut juste dire « hommes qui pensent avoir une présentation genrée différente de la norme » (étant donné que si on parlait des femmes « non-binaires », ben yaurait pas besoin de préciser, la non-mixité incluant déjà toutes les sortes imaginables de femmes).
Et en fait, peu importe ce que les hommes pensent d’eux-mêmes. C’est précisément la force du féminisme que d’énoncer qu’on s’en bat fortement du regard que les hommes portent sur leur nombril. Ils peuvent penser qu’ils ne sont pas des violeurs, ils peuvent penser qu’ils sont sympas, ils peuvent penser qu’ils sont subversifs quand ils mettent des jupes… On s’en fout. Parce que là n’est pas la question. La question c’est le rapport de pouvoir qu’ils établissent avec les femmes – rapports de pouvoir qu’ils établissent de manière encore plus insidieuse lorsqu’ils se présentent comme des gentils « non-binaires ».
Perso, je ne viendrai pas à cet atelier. Hors de question que je « parle de moi » dans un environnement mixte. Car parler de soi, en tant que femme, dans un environnement mixte, c’est clairement se mettre en danger.
A bonne entendeuse
C’est impressionant. A chaque fois qu’il y a un chouilla de début de débat féministe, ya toujours un homme pour ramener sa fraise en mode « Hey, et moi, qui suis un pédophile potentiel ; et moi, qui suis un violeur potentiel, c’est de moi que tu parles ????? » (cela est généralement suivi d’un grognement rauque en mode « rahhh la salope »).
Ben oui c’est de toi qu’on parle ! Et nous savons très bien que « potentiel » n’a rien à faire dans ton auto-description.
Ben c’est bien, ya un pédophile autorevendiqué qui vient donner son avis antiféministe sur indy.
A quand les « claude le facho » et les « claude le flic » pour les avis racistes, nationalistes, capitalistes et j’en passe ?
Pour la raison du commentaire ci-dessus, deux commentaires ont été cachés.