[nantes] discussion autour du livre « les prédateurs du béton, enquête sur la multinationale vinci »
Publié le , Mis à jour le
Thèmes : BétonnageUrbanisationVinci
Lieux : Nantes
à B17 - 17 rue Paul Bellamy à Nantes (http://bellamy17.free.fr/trouverB17.htm)
A l’occasion de sa sortie, le CNCA vous invite à une discussion autour du livre de Nicolas de la Casinière “Les prédateurs du béton, enquête sur la multinationale Vinci” (Ed. Libertalia) le VENDREDI 18 octobre à 20h à B17 (17 rue Paul Bellamy).
Nicolas viendra nous en faire une présentation et le débat qui suivra sera l’occasion de mieux cerner le fonctionnement tentaculaire de ce géant du BTP que nous connaissons bien par ici.
Cette discussion, en forme de retour à l’envoyeur, est aussi pour nous une manière de répondre à l’appel à actions lancé pour l’anniversaire du début des expulsions sur la ZAD, en octobre 2012, dont AGO-VINCI est le principal commanditaire. Elle sera suivie d’une manif à Nantes le samedi 19 octobre.
“Créé en 2000, le jeune groupe Vinci est vite devenu un champion du CAC40 et le leader mondial du BTP, à peine dépassé par deux groupes chinois depuis. Autoroutes, parkings, aéroports, voies ferrées, industrie nucléaire, réseaux d’eaux, constituent les marchés de Vinci pour la phase construction, et pour l’exploitation. Pour les partenariats public-privé et les grands chantiers, Vinci a constitué avec quelques autres majors une oligarchie très restreinte, surpuissante, imposant son ordre au monde économique et aux collectivités. Vinci incarne le capitalisme moderne avec un discours de façade verte, une rhétorique bien rodée sur l’humain au coeur de l’entreprise, des oeuvres de bienfaisance bien orchestrées, mises en avant. Ce qui n’empêche pas des pratiques de prédateurs en profitant des opportunités ouvertes par la crise financière et économique, l’exploitation de la précarité des salariés, ses proximités avec le pouvoir et quelques ennuis devant les tribunaux”.
Collectif Nantais Contre l’Aéroport
cnca@riseup.net
Commentaires
Les commentaires sont modérés a posteriori.Laisser un commentaire